Comment devenir riche en France ? voici les bonnes pratiques

Je ne peux pas vous garantir de devenir riche. Cela dit, les idées qui suivent peuvent déjà constituer les bases d’un plan méticuleux vous permettant d’atteindre la liberté financière.
comment devenir riche en France

Je vais commencer par une formule simple, qu’il faudra bien sûr nuancer tout au long de l’explication. En France, l’un des leviers d’investissement les plus rentables pour devenir riche en partant de rien reste la Bourse. C’est incontestable ! Les études laissent observer un rendement moyen de 7% par an pour les actions US depuis 25 ans[1] et ce, sans compter les années post-covid très fleurissantes (+43% de progression pour l’indice Nasdaq en 2020, +18% en 2021, par exemple).

Ces tendances montrent des performances nettement meilleures par rapport au marché immobilier. Bien que ce dernier ait continué à prendre son essor en dehors des grandes agglomérations urbaines, l’investissement initial plus élevé et la moindre liquidité présentent des risques à ne pas négliger.

Faire son entrée sur le marché immobilier peut être complexe et onéreux. Cela implique des dépenses telles que les frais de notaire, les commissions d’agence, les coûts liés à l’emprunt bancaire, et les éventuels travaux nécessaires. Pour beaucoup, acquérir un bien immobilier constitue l’investissement d’une vie, lequel peut, au demeurant, s’avérer difficile à liquider en période de crise. Une situation d’autant plus plausible avec le risque croissant d’une inflation.

Alors comment devenir riche ?

C’est notre sujet du jour. Faut-il suivre les consignes et les conseils des formateurs en bourse, trading, crypto, business, immo, dropshipping ? Mais oui, vous savez, ceux qui vous promettent monts et merveilles ! Potentiellement, car certains partagent de vraies connaissances/compétences. Pour autant, attention : d’autres profitent de la crédulité des non-initiés. Ils détournent la “force de frappe” qu’offre Internet pour jouer les marchands de sable. Ils sont solidement campés sur leur nuage à Dubaï (oui, je caricature… quoique) tandis que vous récoltez des grains. Si vous n’en perdez pas.

En fait, il ne faut pas chercher la clé chez les autres. Il est préférable de la détenir soi-même. Dans ce but, rien ne vaut le suivi d’une formation. Le présent billet a pour but d’approfondir ce sujet. Je vais vous livrer des pistes reliant l’apprentissage et le fait d’augmenter ses revenus. Est-ce que je vous promets la richesse au terme du processus ? Non. Mais vous augmenterez clairement vos chances d’y arriver…

Devenir riche sans travailler : un mythe… ou une réalité ?

L’idée selon laquelle on peut devenir riche sans rien faire (en tout cas rien de productif) n’est pas un mythe. Cette affirmation vous choque ? Elle vous donne le sentiment que je suis passé du côté obscur de la force, sur le point de vous faire télécharger une application bidon ?

Rassurez-vous. En l’occurrence, je pense à des cas particuliers. Ils relèvent principalement de la chance et des circonstances.

Tout d’abord, il y a le cas des héritiers. Les statistiques révèlent que 30% des plus riches, en France, font partie de cette catégorie et qu’ils ont assis leur fortune uniquement grâce à leur perception des biens familiaux. C’est encore plus flagrant chez les milliardaires de l’hexagone. En effet, Ouest-France rapportait que 80 % des milliardaires français étaient des héritiers[2].

Si ces derniers chiffres semblent a priori surprenants, ils sont en définitive tout à fait logiques. Et pour cause :

  • Les ultras riches (milliardaires) sont peu nombreux car il est extrêmement difficile d’en arriver à ce point culminant (financièrement).
  • Il est très difficile d’écouler tout l’argent contenu sur un compte/des comptes aussi fourni(s) pendant une vie humaine.

En somme, le “quota” de milliardaire se stabilise et paraît impressionnant par rapport à l’effet “dynastique”.

Pour autant, nous ne sommes pas tous héritiers. J’irais plus loin : ceux qui cherchent à devenir riche sans travailler ne font pas partie des plus aisés. Sinon… ils ne chercheraient pas. Vous me suivez ?

Quittons, quoi qu’il en soit, les hautes sphères. Il faut en revenir à un niveau plus… accessible. C’est maintenant que les choses sérieuses commencent. Celles qui vous concernent ; qui me concernent aussi. Juste avant cela, je tiens à faire un petit aparté, pour ne pas céder aux clichés.

Bon à savoir : une grande richesse implique… de grandes responsabilités

Fondamentalement, sur le terrain, la vie d’un héritier peut se révéler compliquée. Oui, je sais, il est difficile de plaindre quelqu’un qui n’a jamais de vrai problème d’argent. Toutefois, il serait simpliste et réducteur de les imaginer le sourire aux lèves et les doigts de pieds en éventail tout au long de l’année.

Les “légataires”, comme on les appelle aussi parfois, n’ont pas nécessairement la même aisance en affaires que leur père et/ou leur mère. Si les deux parents décèdent et qu’il faut maintenir à flot l’empire bâti, les meutes de loup ne tardent pas à encercler les successeurs.

Aussi, y compris chez les milliardaires, les terribles dettes viennent gâcher un tableau à priori idyllique. En effet, si le défunt a laissé derrière lui plus de dettes que d’actifs (propriétés, argent, investissements), les héritiers sont les nouveaux débiteurs. Selon les lois de la succession en vigueur dans leur pays. Cela arrive, parfois, notamment si leurs investissements étaient hautement “leviers” ou s’ils avaient contracté d’importantes dettes personnelles et/ou commerciales.

Encore une fois, je ne vais pas sortir les violons. Je les garde pour quelques grandes occasions. Cependant, il faut opérer quelques distinctions et tenir compte de certaines exceptions. La nuance vaut toujours mieux que la généralisation.

Il est temps, comme promis, d’en arriver à la thématique quintessencielle des investissements.

Peut-on devenir riche grâce aux investissements ?

Sans remettre en cause le talent des hauts dirigeants, il faut souligner qu’ils s’enrichissent énormément grâce aux actions et/ou aux levées de fonds de leurs entreprises. J’entends par-là que l’accroissement de leur fortune ne découle pas uniquement d’une ingéniosité cultivée. Les mécaniques boursières ont un rôle (important) à jouer.

La réponse est donc doublement oui. Non seulement on peut devenir riche grâce aux investissements. Mais on peut aussi devenir encore plus riche par ce biais.

Prenons l’exemple d’Elon Musk, 1er fortune mondiale. Elon Musk a un parcours incroyable. Le grand ponte de Tesla et de X (Twitter) avait signé la plus grosse progression de patrimoine en 2020, sacré par un gain de 133 milliards de dollars en une seule année. En 2021, il a continué sa progression en engrengeant 120 milliards de dollars[3] supplémentaires.

Les choses se seraient-elles calmé depuis ? Oh que non ! Citons le fameux périodique Forbes à ce sujet :

“[La fortune d’Elon Musk] a augmenté de 27,5 milliards de dollars (25,2 milliards d’euros) entre le 1er mai 2023 et le 1er juin 2023, principalement en raison d’une hausse de plus de 25 % du cours de l’action Tesla.” (Source)

Vous l’aurez compris, l’investissement est une donnée primordiale de l’enrichissement. Mais investir ne veut pas nécessairement dire, placer son argent en bourse. Il est possible, par exemple, d’investir sur des sites internet rentables via la solution d’investissement Online Asset, d’investir dans le vins, les parkings, l’or physique, etc.

La Bourse, ou la meilleure amie du riche (avec quelques exceptions…)

Ce qui explique les gains exponentiels du magnat, malgré sa réputation fulgurante, c’est (notamment) la confiance des investisseurs à l’égard de Tesla.

La firme éblouit par son envolée boursière, Monsieur Musk profite largement. C’en est le principal actionnaire. Son patrimoine financier s’est ainsi envolé. Attention toute fois, petite précision : ses actions (si elles ne sont pas vendues) ne rentrent pas dans ses revenus.

Pour le deuxième exemple, j’appelle à la barre Bernard Arnault, le Président Directeur Général de LVMH. Sa fortune était estimée à 231,9 milliards de dollars selon les dernières estimations de Forbes, encore une fois. Ce Français, spécialiste du luxe, a accusé une petite baisse de forme dans le courant de l’année 2023, certes : “Au 1er juillet, sa fortune valait 5,8 milliards de dollars (5,3 milliards d’euros) de moins qu’Elon Musk” (source)”. Une nouvelle bien triste, dont j’ai encore du mal à me remettre.

Travailler plus… pour investir seulement ?

Ce qui nous intéresse ici, c’est surtout l’interrogation suivante : a-t-il travaillé plus ? Ce n’est pas certain. Il a en tout cas “profité” (dans le sens brut du terme) des liquidités injectées sur les marchés financiers grâce à ses investissements, de facto.

Est-ce que le fait d’investir correspond à du travail ?

Je respecte ceux qui ont des convictions profondes et souhaitent lutter contre cette forme de capitalisme, mais il faut avouer qu’il est plus astucieux pour sa situation personnelle de chercher une fructification… Cela semble injuste, mais c’est ce qui marche le mieux. Il n’y a que 24h dans une journée. On voit mal comment les grosses fortunes pourraient refléter strictement des heures d’opérativité réelle.

A titre d’exemple toujours, LesEchos nous apprend que toute personne qui aurait investi 1.600 euros dans d’Eurofins en 1997 serait quasiment millionnaire aujourd’hui[4]. Et il y a beaucoup de cas similaires (Amazon, Google, Apple, Netlix…)…

Prenez garde toutefois. Il est facile de compter les succès. Ces derniers cachent aussi (souvent) de nombreux échecs.

Mais restons focalisés sur la dynamique d’investissement. Celle qui permet aux cadors (Musk, Bernard Arnautl…) de rester à flot (doux euphémisme).

Quels sont les métiers qui permettent le mieux de devenir riche ?

Devenir riche : ces métiers prisés

En préambule de ce paragraphe, je tiens à rappeler que n’importe qui peut s’enrichir.

L’enrichissement ne résulte pas nécessairement d’un seul parcours professionnel. Il ne s’agit pas de LA méthode ultime. La richesse accumulée dépend des décisions qui seront prises tout au long de sa propre vie (épargne, investissement, diversification, création d’activité, constitution de patrimoine…).

Un (bon) métier est un tremplin qui aide à se constituer de l’épargne (argent disponible) et donc à entrevoir de nouvelles d’opportunité d’investissement (dans des passifs, en action par exemple). Cela augmente mécaniquement la croissance des revenus…

Les postes sont toutefois difficiles à obtenir. Ils demandent un engagement conséquent au sein d’une entreprise. Quelques sacrifices personnels. Sans oublier un sens de la compétitivité aiguisé. Tout le monde (dans ces milieux) veut sa part du gâteau. Et si possible la plus grosse.

Voici, en tout cas, quelques exemples de ces métiers favorisant les chances de devenir riche :

  • Trader. Sachant que le salaire d’un trader est très aléatoire. Surtout si l’on prend en compte les bonus liés aux performances. Un trader junior est parfois sous-payé.
  • Chirurgien, Radiologue, Anesthésiste et autres métiers spécialisés dans le secteur de la médecine qualifiée.
  • Notaire.
  • Haut fonctionnaire.
  • Courtier (financier, immobilier).
  • Commerciaux grands comptes qui gèrent des deals B2B à plusieurs millions d’euros.
  • Tout métier à haute responsabilité (directeur communication, financier, directeur des ressources humaines, directeur général, directeur des systèmes Informatiques, immobilier, etc…).
  • Pilote d’avion.

Faut-il alors renoncer à l’idée de faire fortune car on n’a pas choisi une profession incluse dans cette liste ?

Non. Je rappelle que n’importe qui peut s’enrichir.

Comment ? Via l’entreprenariat et les professions libérales.

Devenir riche voire millionnaire avec un métier commun

Aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est au sein des activités libérales que se concentrent les plus grosses fortunes.

En fait, rares sont celles et ceux qui peuvent accéder au statut de notaire. Les places sont littéralement limitées. À contrario, beaucoup de personnes peuvent être comptables ou plombiers.

Quoique l’expression “beaucoup de personnes” ne rende pas honneur au phénomène que je tente de décrire ici. Car la force d’un micro entrepreneur, c’est sa capacité à transformer son talent, ses aptitudes, en une source de revenus. Puis en un levier d’épargne.

Aujourd’hui, il existe de multiples aides pour accompagner la création et développement d’une micro-entreprise étape par étape. Au demeurant, les activités qui sont exercées en tant que professions libérales n’impliquent aucun plafond de revenu.

Je sais qu’en soi, ce n’est pas aussi simple. Il faut apprendre à maîtriser ses ressources. Réunir une clientèle n’a rien d’une sinécure.

Ainsi, pour ne pas échouer, il vaut mieux commencer doucement. Établissez un plan détaillé, avec un objectif quotidien raisonnable. Une petite action par jour vous fera déjà avancer. Ayez des idées (oui : cherchez-les, elles sont quelque part au creux de votre esprit ;)), pensez à des produits ou services que vous pouvez proposer…

Ne perdez jamais espoir. Même si vous pensez partir de rien… c’est déjà quelque chose.

Devenir riche en “partant de rien” : comment faire en France ?

Pour devenir riche en partant de rien dans notre beau pays, trois pistes me viennent à l’esprit :

  • S’investir (avant de pouvoir investir). Chercher à évoluer, à s’améliorer, à apprendre. Je pense là au volet psychologique. À ce qui concerne le développement personnel. La démarche doit venir de vous, avant tout, et de votre volonté.
  • Dans cette lancée, songez à trouver des modules via Pôle Emploi, ses droits CPF, son entreprise, etc. Il s’agit d’aiguiser, de diversifier ses compétences afin de prendre d’autres chemins, sans hésiter. Attention : je ne dis pas de tout lâcher du jour au lendemain. Bien au contraire. La transition se prépare.
  • Développer des passions sur son temps personnel via une association, des clubs sportifs, des meetups, des conférences, un site internet, les réseaux sociaux, Youtube, etc. Tout cela permet de faire gonfler son réseau. Il revêt une importance capitale.

Aussi, je le précise quand même, il est préférable de réduire ses dépenses. A ce stade, et c’est peut être dur à lire, nous sommes encore loin de la liberté. De l’indépendance.

Cependant nous avons la chance aujourd’hui d’être dans un environnement où le “savoir”, les astuces, les stratégies sont disponibles et accessibles un peu partout.

On critique souvent le monde moderne. On en dénonce les dérives, les hypocrisies, les limites. Pour autant, il a aussi ses avantages. Par exemple, il offre à tous une potentielle prime à l’investissement. En clair, ceux qui s’investissent dans un domaine et font plus d’effort que les autres deviennent des experts avec des compétences inestimables…

Un excellent moyen de s’instruire à propos d’un domaine que l’on ne maitrise pas consiste à lire.

Quels livres faut-il lire pour (essayer de) devenir riche ? Un exemple

J’ai consacré un article entier, sur Lesformationstrading, aux principaux principes à considérer lors d’une éducation financière. Ma référence fut un livre publié en 1997. Un best-seller écoulé à plus de 40 millions d’exemplaires et traduit en plusieurs langues.

Il s’agit de ” Père riche, père pauvre ” de Robert T. Kiyosaki (traduit de la version anglaise Rich dad Poor dad). C’est le livre qui semble être, avec “La semaine de 4 heures” de Thimoty Ferriss, leader de son segment. En clair, une “bible” pour bien maitriser son argent.

J’ai particulièrement apprécié cette lecture. Car cette ouvrage nous enseigne comment font les riches pour devenir encore plus riches, rappelant qu’ils n’échangent pas leur temps contre du travail, qu’ils optimisent leurs impôts (oui c’est aussi important), qu’ils transforment les actifs en passifs ou encore qu’ils se forment continuellement, etc.

Ce n’est pas un livre sur la bourse et le trading, un livre technique comme L’art du Trading ou La bourse pour les Nuls.

Il invoque des concepts qui sont encore et toujours d’actualité. Des concepts que je partage dans cet article, soit dit en passant, lorsque je mets en avant l’entreprenariat et les investissements.

Non, ce n’est pas un ramassis de banalités.

Ce livre ne présente pas des conseils évidents… mais plutôt difficiles à mettre en place au quotidien (épargnez plus, ne dépensez pas, ayez un esprit positif, etc.). Il ne donne pas dans la complaisance.

Au contraire, il invite à sortir de sa zone de confort. Il permet d’élargir sa vision et sa compréhension du monde pour quelques euros seulement…

Bien gérer son argent, une étape pour devenir riche rapidement et sans rien faire

On dit toujours que le premier client est le plus difficile à obtenir, puis les premiers milliers d’euros, puis le premier million d’euros…

Ensuite, tout devient plus facile avec une bonne gestion financière. C’est l’effet boule de neigeL’argent appelle l’argent.

Dans ce paragraphe nous allons nous intéresser à l’épargne, celle qui, rudement gagnée peut, peut soit s’éroder au rythme de l’inflation, soit faire augmenter votre capital.

L’immobilier, ce premier réflexe français

Investir sans parler d’immobilier en France serait considéré comme une hérésie. C’est le placement préféré des français et c’est même l’objectif d’une vie pour 70% d’entre eux.

Sont-ils tous riches pour autant ? Non, manifestement.

Devenir propriétaire correspond au sacrifice d’une vie, de nos jours. Cet investissement correspond à une dette sur 20/25/30ans. Le montant des loyers à rembourser est supérieur au montant des loyers d’une location.

Si ce placement contribue à votre patrimoine sur le long terme, votre réel enrichissement est difficile à calculer.

Et pour cause…

  • D’un côté, il y a les frais : notaire, frais d’agence, travaux, impôts, consommation, entretien, sécurité/assurance, charges liées à la copropriété, coût du crédit, utilisation de son épargne…
  • D’un autre, les avantages : potentielle plus-value immobilière après plusieurs années, propriété…

En ces temps où règne l’inflation, il ne faut pas compter sur des crédits agréables. Dès lors, si les taux augmentent, les prix immobiliers risquent de baisser également, entrainant une double perte pour l’investisseur.

L’immobilier rapporte… mais comment ?

Loin de moi l’idée de “crier” que l’immobilier est un mauvais investissement. Au contraire, les promoteurs s’enrichissent énormément en maitrisant toute la chaine de construction d’un programme immobilier depuis l’achat du terrain.

La famille Trump, même si on s’éloigne ici de l’hexagone, en est un parfait exemple. Donald Trump a toujours fait savoir qu’il était milliardaire. Il ne s’en est jamais caché. Pourtant, sa véritable fortune proviendrait de son père, promoteur, qui lui a fait hériter plusieurs centaines de millions de dollars.

Il est donc devenu rentier. Mais ces rentes, il a dû les cultiver.

Être un bon rentier, qui “tient sur la longueur”, demande une réelle stratégie immobilière, des compétences de gestion. Un suivi des travaux et une fine analyse des marchés.

Tout comporte des risques mais en matière d’immobilier vous “jouez” avec une dette qu’il vous faut rembourser et qui vous prive souvent de belles opportunités. Oui, vous l’aurez compris : aucune voie n’est parfaite. C’est ce qui rend le défi excitant. Et parfois un peu frustrant. L’essentiel, c’est de savoir saisir les opportunités. Un grand nombre de milliardaires sont partis de cette base dorée.

Le coût d’opportunité : ce précieux levier

Le “coût d’opportunité” est un concept important à connaître en économique. Il représente la valeur de la meilleure alternative à laquelle on renonce au moment de prendre une décision.

En d’autres termes, c’est le bénéfice que l’on aurait pu obtenir en choisissant l’option la plus avantageuse à priori, mais qu’on a perdu en prenant une autre décision.

Ce coût n’implique pas toujours un échange financier direct ; il peut aussi concerner des aspects tels que le temps, les ressources ou le potentiel de gain.

La saisie d’opportunités sur les marchés implique souvent, et justement, une évaluation précise des coûts d’opportunité. Les investisseurs, entrepreneurs, ou gestionnaires analysent les options disponibles pour déterminer à quel “endroit” (ce n’est pas forcément géographique, évidemment) l’allocation de leurs ressources (temps, argent, efforts) offrira le meilleur rendement potentiel par rapport aux alternatives qu’ils abandonnent.

C’est là qu’une meilleure gestion des risques devient possible. Et que la porte s’ouvre pour… prendre des risques.

On peut alors “tabler” sur…

  • Une crise pandémique qui surgit, entrainant un crack sur les marchés financiers. Voilà une opportunité rare de faire les soldes en bourse sur des bons dossiers.
  • L’essor des cryptomonnaies en 2020 après l’éclatement d’une bulle en 2018 qui signe la consolidation du secteur = une opportunité rare de profiter d’un placement alternatif potentiellement à haut rendement. Même si de nouvelles tribulations ont eu lieu depuis (c’est le jeu, si j’ose dire).
  • Un(e) ami(e) qui recherche des financements pour la startup florissante où elle travaille. Encore une chance à ne pas laisser passer. Tout en observant une certaine prudence, il va sans dire.

Le point commun de beaucoup d’entre nous, c’est que nous “passons à côté” de ces opportunités car ce n’est jamais le bon moment. Nous n’avons pas/plus d’argent à placer.

Voilà pourquoi il faut apprendre à faire des choix. À définir avec stratégie ce qui est important pour nous.

À ce propos, j’échange mes conseils sur le trading et la bourse. Les marchés financiers s’adaptent à tous (ou plutôt, on peut s’y adapter ;)) avec quelques bonnes stratégies comme celle nommée Dollar Cost Averaging. Cela demande simplement une certaine vigilance. Tous mes conseils et bonnes pratiques sont à retrouver dans mes e-mails confidentiels.

Profitez-en :

Devenir riche n’a (presque) plus de secret pour vous

Définir une stratégie et comprendre les conséquences de ses choix sont deux étapes importantes, complémentaires, dans une démarche aussi ambitieuse. Celle qui a pour objectif de devenir riche. Vraiment.

Voici, synthétiquement, ce que vous devriez avoir découvert aujourd’hui :

  • Les voies d’enrichissement à votre portée (si vous n’êtes pas héritier).
  • La manière dont les multimilliardaires en arrivent à de tels sommets.
  • L’importance d’acquérir, de développer des connaissances et compétences.
  • Les limites et les forces d’un chat dans la pierre (l’immobilier).

Maintenant, à vous de jouer…

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FAQ (Foire Aux Questions)

Comment devenir riche rapidement ? en peu de temps ?

Il n’y a pas de méthode royale pour s’enrichir rapidement. Acquérir une richesse rapide reste possible, mais reste souvent liée à des facteurs “chance”, par définition indépendants de notre volonté (héritage, loterie, dons d’argent).

Quel est le meilleur livre pour devenir riche ?

Il existe un livre très connu de Robert Kiyosaki “Rich Dad Poor Dad” traduit dans une version française nommée “Père riche, Père pauvre”. S’il n’y avait qu’un livre à avoir sur sa table de chevet pour apprendre à gérer son argent et ses revenus, ce serait lui. À mon humble avis, en tout cas.

Comment devenir riche avec un petit salaire ?

Un socle permettant de s’enrichir malgré un petit salaire revient à acquérir de nouvelles compétences et à développer de nouvelles connaissances. Il devient alors possible de “revendre” ses apprentissages, de les faire fructifier (soit par le biais d’un métier plus qualifié, soit par la création d’une entreprise).

Comment avoir de l’argent et des milliers d’euros ?

Il n’y a pas de méthode unique pour gagner de l’argent. La voix la plus classique, mais aussi la plus sûre reste de trouver un travail. Cependant, en France, tous les emplois n’assurent pas des revenus décents. Une méthode à envisager pour empocher quelques euros supplémentaires chaque mois consiste à vendre en parallèle ses compétences sur internet par le biais de microservices (rédaction, formation, photographie, traduction, correction, etc.)


Références

  • [1] Lafinancepourtous, https://www.lafinancepourtous.com/decryptages/marches-financiers/produits-financiers/actions-2/la-performance-des-actions/les-actions-sont-elles-le-placement-le-plus-rentable-a-long-terme/, [en ligne], dernière consultation le 17 décembre 2021.
  • [2] Ouest-France, https://www.ouest-france.fr/economie/pres-de-80-des-milliardaires-francais-sont-des-heritiers-selon-forbes-e12c546e-b63b-11eb-9d0b-d31a5f1d6514, [en ligne], dernière consultation le 19 décembre 2021.
  • [3] Forbes, https://www.forbes.fr/business/elon-musk-qui-a-gagne-25-milliards-de-dollars-en-un-jour-est-lhomme-le-plus-de-la-terre/, [en ligne], dernière consultation le 20 décembre 2021.
  • [4] Gilles Martin, https://investir.lesechos.fr/actionnaires/interview/toute-personne-qui-aurait-investi-1-700-euros-a-l-introduction-serait-quasiment-millionnaire-aujourd-hui-1982438.php, [en ligne], dernière consultation le 20 décembre 2021.
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